NOS CONSEILS PRATIQUES

Vous trouverez dans les quelques articles ci-dessous des réponses aux questions le plus souvent posées par nos clients soit à la fin d’une installation, soit au fil du temps et des utilisations.

Si ces quelques conseils n’apportent pas de réponse à la question que vous vous posez, n’hésitez pas à nous envoyer un message.

Nous nous ferons un plaisir de vous répondre et cet échange sera peut-être demain, l’occasion d’un conseil Erinnov ajouté à cette liste.

  • Démarrer son feu efficacement

    Nous conseillons la méthode d’allumage « Top Down » simple et efficace qui permet de réduire sensiblement les émissions de polluants durant la combustion.

    Le bois brûle progressivement du haut vers le bas.
    La combustion est lente pour un meilleur contrôle tout au long de l’allumage.
    Les gaz résiduels dans la flamme incandescente sont presque entièrement brûlés.

    Étape 1 : Réglage des entrées d’air
    Avant d’allumer le feu, ouvrez le système de tirage à fond.

    Étape 2 : Empilage du bois
    Selon la taille de votre foyer, 4 à 8 bûches de bois bien sec (taux d’hygrométrie ≤ à 20 % – idéalement ≤ à 12 %) / longueur : 50cm pour les grands foyers et 33 cm pour les petits foyers. Empilez les bûches en croix en laissant un peu d’espace libre entre chacune. Placez les plus grosses sections en bas et les plus fines au-dessus.

    Étape 3 : Préparation du module d’allumage
    Une fois votre bois empilé, procédé de la même manière à l’empilement de quelques bûchettes de section de 3 cm maxi et/ou de petit bois. Glissez ensuite un allume-feu (ex. : laine de bois trompée dans de la cire) au milieu de cette dernière petite pyramide puis allumez à l’aide d’une allumette.

    Étape 4 : Propagation de la combustion
    Avec cette méthode et contre toute attente, le feu prend du haut vers le bas en quelques minutes. Selon le bois utilisé, la totalité de votre bûcher d’allumage aura pris en 20 minutes (en moyenne). Il sera alors temps de recharger pour ne pas perdre le bénéfice des flammes vives. Il ne vous restera plus qu’à régler l’arrivée d’air à la recherche du tirage idéal.

    Une fois cette méthode adoptée, vous ne pourrez plus vous en passer. Même allumer un barbecue deviendra un jeu plaisant qui vous fera oublier les galères d’une pyramide de bois instable qui s’écroule sur vos premières flammes.

  • Quel bois choisir ?

    Un bon bois de chauffage est un bois sec. Son taux d’humidité doit être inférieur à 20 % idéalement inférieur à 12%.

    ATTENTION :
    Au-delà de ce pourcentage d’humidité, votre appareil ne sera qu’une machine à vapeur et la vitre de celui-ci, une surface difficile voire impossible à conserver propre.

    Il doit être stocké dans un lieu ventilé et sec pendant deux ans après la coupe. Les essences préconisées sont les feuillus tel que le hêtre ou encore le chêne. Nous pouvons aussi brûler du résineux mais uniquement quand le feu est déjà bien engagé et que la combustion est complète (en pleine puissance, quantité d’air au maximum).

  • Nettoyer la vitre de son poêle

    « A usage journalier, nettoyage journalier »
    Tel est l’adage que l’on peut retenir pour une bonne propreté de l’appareil et de la combustion.

    Pour nettoyer une vitre de poêle à bois comme à granulés, rien de mieux qu’un chiffon mouillé avec de l’eau du robinet à laquelle vous pouvez ajouter, le cas échéant, un peu de vinaigre blanc.

    Dans le cas d’un poêle ou d’un insert à bois, il est conseillé de faire un feu puissant avant le nettoyage. Cela vous facilitera la tâche.